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samedi 25 juin 2016

205 – J’imagine l’avenir.

Je viens d’achever le dix-septième « Fauteuil », celui de Bénédicte. Comme vous le savez, le cycle du Fauteuil est à l’image de chacun des modèles, voici certainement le plus philosophique et mystique. Il a rendu Bénédicte heureuse. 


Il me reste dans mes cartons le projet de Maeva, un autre univers. J’ai un autre projet pour un dix-neuvième Fauteuil, pour un univers plus fantastique. Il me faut en parler au potentiel modèle.

En attendant voici les vidéos des des 15 et 16 ème Fauteuil, celui de Lydie et Shanonn.





Mais je songe à mettre fin à ce cycle. Je ne dépasserai pas la vingtaine. Je sais de quelle manière j’aimerais le finir, sur une note de poésie, de romantisme, de féminité et de douceur. Il ne me reste qu’à convaincre celle qui, à mes yeux, représenterait le mieux cette image. C’est pas gagné L.


J’aimerais aussi conclure ce cycle comme il a commencé, par une exposition des vingt tableaux et réunir une nouvelle et dernière fois tous les modèles, en leur réservant une belle surprise, mais j’en reparlerai le moment venu.



L’avenir va entraîner du changement pour de multiples raisons et il sera temps de passer à d’autres sujets. Mais le projet le plus immédiat est la saga des Arlésiennes, avec une première exposition en guise de test au mois de septembre 2017 en pays d’Arles. 


En parlant d’exposition, je suis heureux de vous annoncer que j’exposerai à Bergerac, juste après le festival des Bastides de Saint-Agne, à la fin septembre. Elle se déroulera Chez Paolin-Bergerac-Musique. Vous savez à quel point la musique est présente dans ma vie et je suis très heureux d’exposer, de partager et d’échanger avec le quatrième art. Et puis cela fait quinze ans que je n’ai pas exposé à Bergerac, hormis l’inauguration de l’Atelier d’Artiste avec le début du cycle du Fauteuil.



lundi 20 juin 2016

204 - Mescoules, encore et toujours.


Une semaine déjà, l’expo la plus éphémère s’est achevée. Et nous pouvons dire que nous avons eu de la chance ! Il a fait beau temps, il y a eu du monde.


Mescoules, c’est un joyeux moment où l’on se retrouve tous, les trois ateliers, Lalinde, Couze et Bergerac. C’est aussi pas loin d’une cinquantaine de tableaux. 









Des démonstrations joyeuses et débridées et le tout se clôturent par un repas bon enfant. Un rendez-vous incontournable où l’on ne peut que dire et répéter le fameux adage : 
Les absents ont toujours tort !







A l'année prochaine ...


vendredi 17 juin 2016

203 – Le projet à quatre mains.


L’envie de peindre un portrait m’est motivée par la sympathie que j’éprouve pour la personne que je désire représenter. En soi, les cours représentent un vivier de modèles potentiels. Parmi eux, mes ados, avec qui je partage une relation privilégiée. Ils me font revivre mes dix-sept ans, et nous partageons nos passions, musiques, livres, dessins et peintures évidemment.


Lucile est l’une d’entre elles. J’aime sa discrétion proportionnelle à sa passion, les quelques discutions que nous avons eu sur l’art, la vie d’artiste, la démarche, le message. J’aime ses pastels qu’elle élabore à l’Académie et les dessins qu’elle exécute chez elle.

Les œuvres de Lucile
En un mot, j’ai eu envie de la peindre. Et c’est en regardant l’un de ces dessins que le projet de la faire participer à ce portrait m’est apparu.

Le choix de la pose
Lucile est venue poser, un matin pluvieux et orageux où la lumière était exceptionnelle. Elle s’est révélée être un excellent modèle, certainement parce qu’elle ne posait pas que pour moi, mais aussi pour elle, et c’est elle qui a choisi la photographie finale en fonction de ce qu’elle imagine de sa participation graphique.

À Mescoules, j’ai réalisé le dessin et la mise en valeur ensuite je lui ai confié. 



Quel graphique va-t-elle y apposer ? Quel contexte va-t-elle imaginer ? Et comment va-t-elle me repasser le relais ? Une grande inconnue pour moi, pour elle. Mais pour l’instant priorité à son BAC. Projet à suivre…